😊 Enfin ! Le coronavirus fait toujours des siennes dans le monde mais l’envie et le besoin de voyager ont eu raison de moi. C’est donc depuis l’un des quartiers d’Athènes que je vous écris ce petit article. J’ai le besoin et l’envie de partager avec vous ce petit bol d’air frais que je me suis offert. Et je ne suis pas seul car ma compagne de voyage est à l’origine de ce trip un peu organisé en dernier minute mais je la remercie pour ça. Allez, je vous emmène sur l’île de Kéa ! Let’s go ! 😉
🛫 C’est donc à l’aéroport de Bâle/Mulhouse que notre trip commence mercredi 2 septembre à 6h du matin. Notre avion orange et blanc s’élance sur le tarmaque, en direction de l’aéroport d’Athènes. Rien d’inhabituel mise à part ce masque sur le visage tout le long du trajet. Il fait chaud là dessous… Mais on fait avec… 😷
🛬 Arrivé à l’aéroport, notre chauffeur (de bus hein, faut pas abuser non plus 🚍) nous emmène en direction du port de Lavrio ⛴ De là, nous embarquons sur le ferry, direction l’île de Kéa, à environ une heure de trajet. Une fois débarqué, un dernier bus nous emmène dans le village de Ioulis au centre de l’île, dans les hauteurs. 🥾 Un dernier effort pour monter les nombreuses marches des rues sinueuses du village et nous voilà dans notre logement pour quelques jours. Il est environ 18h. Dans une même journée, nous avons donc pris l’avion, le bus et le ferry, et donc voyagé dans les airs, sur terre et en mer ! 😄
🥾 La première journée sur l’île fut dédiée à la randonnée. Kéa dispose de plusieurs chemins de randonnée accessibles pour la plupart depuis Ioulis où nous logeons. Donc ce sera pour aujourd’hui le chemin numéro 10 qui nous mènera sur les traces du lion de Kéa, une très ancienne sculpture posée non loin de Kéa depuis plusieurs millénaires. Et en pursuivant ce même chemin sur plusieurs kilomètres c’est sur une des plages de sable fin de l’île que nous débarquerons aux environs de midi 🏖
Après un rapide casse croûte, c’est baignade pour mademoiselle et bronzage pour moi (je suis beaucoup trop frileux 😅). Et aux environs de quinze heures, il est temps de reprendre la route, à pied, vers le village le plus proche… Le plus proche, mais pas si proche… Le dernier bus doit passer vers 17h. La route est longue et le temps passe vite… Ça va être tendu d’arriver dans les temps. C’est à ce moment là qu’on tente un coup de poker… et qu’on termine la route, même mieux, le chemin retour à Ioulis, à l’arrière d’un pick-up, entourés d’un gentil toutou (baveur…) et de produits de ferme 🚗 Nous avons été pris en stop par un sympathique fermier qui nous a ramené jusqu’à chez nous. Une belle expérience, à retenter 😁
Le lendemain, tentative de refaire du stop pour atteindre un endroit de l’île que les transports en commun ne déservent pas. Mais pas de chance, ou peut être par manque d’expérience, personne n’a pu nous y conduire durant l’heure où nous étions postés sur la route. Pour ne pas perdre notre journée, nous nous sommes rabattus sur un bus pour découvrir un autre coin de l’île et sa belle plage avant de finir la journée aux alentours du phare de Kéa, une géocache nous y invitant ( 🥫 actuellement ma plus ancienne cache trouvée, posée en 2004 et toujours en activité !).
⛴ Le dernier jour, nous avons un ferry à prendre dans l’après midi sur le port pour rejoindre le contient. Un chemin de randonnée nous permet de rejoindre le port et c’est avec nos sac à dos remplis de toutes nos affaires que nous descendons donc à Korissa à travers les montagnes de l’île. Les paysages arides mais boisés de l’île sont magnifiques et cette dernière randonnée nous donne le sourire et l’envie de revenir. Kéa réserve encore pas mal de surprises et peut être aurons nous le plaisir d’y revenir un jour… 😊
✍ Je termine la rédaction de cet article quelques jours après notre arrivée à Athènes et bien des choses ont été découvertes depuis. Il me tarde de vous narrer tout ça mais ce sera dans un prochain article. Pour le moment, Kéa fut une très belle découverte et une belle vision de ce que la Grèce peut offrir 🇬🇷
Je vous donne rendez-vous très vite pour un deuxième article « grecque » sur Athènes et une nouvelle aventure.
A bientôt,
Romain (& P.)